sans titre
La vie est une sitcom : une suite de scènes qui se déroulent toujours dans les mêmes décors, avec à peu près les mêmes personnages, et dont on attend les prochains épisodes avec une impatience teintée d'abrutissement.
On ne peut pas désirer ce qu'on a, c'est contre nature.
Est-il possible de tomber amoureux sans que cela finisse dans le sang, le sperme et les larmes ?
On se croit irremplaçable, mais on est vite remplacé.
La Beauté se finit en Laideur, le destin de la Jeunesse est d'être Flétrie, la Vie n'est qu'un lent Pourrissement, nous Mourons chaque Jour.
Si seulement je touchais le fond : Mais non. Je descend, toujours plus bas, et il n'y a pas de fond pour rebondir.
Personne ne veut la solitude, car elle laisse trop de temps pour réfléchir. Or plus on pense, plus on est intelligent, donc plus on est triste.
Je pense que rien n'existe. Je ne crois plus en rien. Je ne me sers à rien. Ma vie ne m'est d'aucune utilité.
Les riches d'aujourd'hui ont oublié que l'argent est un moyen, non une fin.
Nous somme sur Terre pour revivre les mêmes événements que nos parents, dans le même ordre, comme eux ont commis les mêmes erreurs que leurs parents à eux, et ainsi de suite. Mais ce n'est pas grave. Ce qui est bien pire, c'est quand, soi-même, on refait les mêmes conneries continuellement.
Ceux qui critiquent l'amour sont bien sûr ceux qui en ont le plus besoin.
Si je suis banal, alors je suis universel...